Prénom : Vladimir
Nom : Dubrosky
Race : Humain
Sexe : Masculin
Âge : 30 ans
Rang : Esclave
Métier : Cartographe
Préférences sexuelles : Hétérosexuel

Taille : 6'-0" ou 1m83
Poids : 83 kilos
Couleur des yeux : Bruns
Couleur des cheveux : Bruns

Description : Je déteste me présenter, je suis plutôt un homme gêné devant les gens donc je n’ai pas la langue facile. Je me rappelle des mots de Asya, à quel point elle aimait me caresser les mains car elle les trouvaient rassurantes. Mon amoureuse complimentait mon nez et les autres formes de mon visage à tout bout de champ, elle passait son temps à me caresser la peau de ses mains si douces… cela me manque.

Mes yeux sont bruns, en harmonie avec mes cheveux qui sont de la même couleur. Je suis grand, bien musclé, mais mon poids vient surtout de ma grandeur. Ma peau est plutôt pâle, mais elle donne à la fois une impression de rudesse.

Je ne suis pas un frêle, venant de la campagne de At-Petersbourg, j’ai appris la vie à la dure sous les grosses hivers et la grande moissons. Donc je ne suis pas un homme bodybuilder, mais je suis raide, fort et j’ai un cardio qui ne me trahira pas pour mes sprints.

Sur terre, j’étais du style à la dure, coat de cuir, jeans foncés, botte noir… quoi que cela a changé quand mon ange est apparue dans ma vie, les chemises propres étaient devenue de plus en plus quotidient, le travail me l’obligeait aussi à la fois.

Trois qualités :
Méthodique,
Attentif,
Protecteur.
Trois défauts :
Anxieux,
Perfectionniste,
Impatient.

Description : Un chien berger, c’est ce que je suis. Un chien qui rode autour de sa brebis pour la protéger des danger environnant. Ma mère me dit toujours que je ne suis que le portrait craché de mon père et elle a probablement raison. Une chose que Asya ne peut pas vraiment démentir, c’est que avec moi, elle avait le sentiment de sécurité.

L’inquiétude est donc un facteur clé sur mon caractère, ça et l’anxiété majeur qui me crée des crises d'angoisses à certains moments. Le côté positif dans cette vie de berger, c’est que cela me force à réfléchir à prendre des bonnes décisions rapidement. En conclusion, je deviens un penseur, un homme qui trouve des solutions, des plans et des remèdes.

Autre façade, Asya me le reprochait souvent, je suis trop perfectionniste, je ne suis jamais satisfais et cela fait de moi d’impatient envers moi-même.

Cette histoire de race est donc simple, on menace de me faire du mal à moi et à celle que j’aime, donc oui, je vais grogner, je vais mordre et je vais tenter de leur arracher la trachée à ces monstres s’ils osent toucher du petit doigt celle que j’aime.

Né sur une ferme, je ne peux pas dire que j’ai eu une enfance difficile. Mes parents étaient bien présent, mes trois frères et mes deux soeurs étaient des plus actif et jamais nous ne nous mettions de côté. Je suis le 3ème enfant dans les cinq, je ne suis pas le plus vieux, mais oui à la fois, car je suis le premier des garçons. J’ai donc toujours été proche de mon père, travaillant fort avec lui et le rôle du protecteur prit rapidement d’assaut mon caractère.

L’âge adulte approche j’ai enfin décidé ce que je veux faire de ma vie et non, ce n’est pas travailler à la ferme. Il s’agit d’être cartographe, représenter et comprendre à la perfection les grands territoires. Mon arrivé à Moscou est donc plus que rapide, par le train je termine dans un petit deux et demi proche de l’université.

Étude parfaite, je n’aime pas me venter mes mes notes étaient exemplaire dans mon domaine, bref, je fini diplômé après avoir perdu quelque kilos. C’est à ce moment que j’ai rencontré Asya, j’avoue avoir eu un faible sur le coup, mais c’est surtout avec le temps que nous avions développé un truc.

Trouver du travail fut compliqué, donc sa présence m’a été plutôt nécessaire et réconfortant. Nous étions heureux, j’étais heureux… avant sa disparition. Cette sensation de trahison quand une personne ne fait que disparaître sans vous donner de nouvelle. Je n’ai jamais réussi à choisir mon sentiment, la colère ou la peine?

D’un sommeil qui avait commencé dans mon lit, je me retrouve maintenant réveillé dans l’ombre, là où les yeux, fermé ou ouvert, ne voie qu’un noir total. Il fait froid et du métal me retient les poignets par des chaînes au plafond, forçant mes bras à rester bien haut.