Prénom : Marianne Nom : Fioli Race : Vampyr Sexe : Féminin Âge : 3 590 ans Rang : Maître Métier : Dresseuse d'esclave Préférences sexuelles : Polyvalente pour son travail, mais préféra toujours les hommes
Physique
Taille : 1M72 Poids : 58KG Couleur des yeux : Dorés Couleur des cheveux : Rousse
Description : Ici, en 5 lignes minimum. Parlez-nous de l'allure de votre personnage, ce qu'il inspire, ses cicatrices, ses tatouages, ses vêtements, etc.
Dans un couloir d'une somptueuse demeure de la Citadelle, un esclave humain pouvait entendre des talons qui claquaient sur un parquet en bois très bien entretenu. Les pas de la personne semblait calme presque serein, sans doute une grande Dame qui vivait dans cette demeure de la haute noblesse. Le jeune homme ne connaissait rien à cette demeure, ses résidents et encore moi à ce monde. On l'avait kidnappé il y avait à peine une dizaine de jours. D'ailleurs, il n'avait jamais vu de Dame en ce lieu. Le noble de cette demeure l'avait acheté à une somme exorbitante comme un vulgaire bétail. Malheureusement pour celui-ci, le jeune homme avait un caractère revêche et il était borné dans ses décisions.
Tandis qu'il nettoyait à contrecoeur la poussière sur les tableaux de son "maître", les talons qu'il avait entendu un peu plus tôt avaient cessé et il sentait une présence dans son dos. Etrangement, il eut des frissons avec un drôle de sentiment qui ressemblait à du danger. Il entendit tousser derrière lui,. Ce n'était pas la toux d'une personne malade, mais plutôt celle d'une personne qui attendait quelque chose.
Lorsqu'il se retourna, il fut frappé par la beauté de la jeune femme qui se tenait devant lui. La personne en question mesurait dans les un mètre soixante-dix, possédait un corps magnifiquement bien sculpté et une peau sans imperfections. Comment il pouvait le savoir ? C'était à cause de l'accoutrement de la jeune femme. Elle portait des vêtements très légers pour le froid hivernal qui régnait à l'extérieur d'ailleurs ce style vestimentaire lui rappelait celle des tenues en soie pour les danses traditionnelles que les femmes du Moyen Orient portaient. Elle portait un sarouel blanc et rouge bouffant qui découvraient ses mollets et chevilles, la Dame portait un petit buste en soie blanche et rouge qui était mis en valeur par divers bijoux dorés. Entre temps, elle avait croisé les bras sur sa poitrine. Elle en portait autour de la taille comme une ceinture, au bras droit, autour de son cou.
Lors de sa contemplation, il avait enfin dirigé son regard vers le visage de la jeune femme. Une cascade de cheveux roux entouraient ce joli visage, une bouche fine et rouge, un nez assez simple, des pommettes hautes et surtout un regard de chat. C'était ce qui le perturbait le plus d'ailleurs. Le regard doré cette personne lui rappelait celui d'un félin qui avait trouvé une proie lors d'une chasse.
" C'est toi le jeune Alex ?" Sa voix était comme chantante. La voix d'une femme sûr d'elle et indépendante qui semblait avoir besoin de personne.
Le jeune déglutit avant de répondre avec un simple hochement de tête, il ne devait pas oublier ce sentiment de danger malgré la séduisante apparence de cette créature. Il vit un petit sourire en coin sur les lèvres rouges de la jeune femme alors que son regard lui était perçant et semblait le jugeait.
"Bien..." L'inconnue attrapa le jeune homme par le col de son pull pour l'attirer vers elle. "C'est moi qui prendra en main ton éducation d'esclave à partir de maintenant et c'est ton maître qui a fait appel à moi. Tu vas m'appeler Maîtresse dans les heures qui vont suivre, je te le garanti, insecte..."
Mental
Trois qualités : séduisante, sûr d’elle et sérieuse Trois défauts : Acerbe, dominatrice, rancunière et strict
Description : Ici, en 5 lignes minimum. Donnez-nous des détails sur le caractère de votre personnage, ce qu'il aime, ses habitudes, sa façon de parler, sa position par rapport aux autres races, etc.
La citadelle était comme toujours couverte de neige et il semblait qu’une tempête n’allait pas tarder à arriver. Pourquoi cette certitude ? Tout simplement parce que des nuages sombres s'approchaient dangereusement comme un prédateur qui était prêt à bondir sur la moindre proie égarée. Une personne observait le temps par la grande fenêtre de son bureau. Des livres trainaient un peu partout sur le sol et la pièce était magnifique avec ses bibliothèques en bois sculpté remplis de différents ouvrages, un grand bureau où régnait une tonne de paperasse plus ou moins importante. Et surtout un petit coin salon avec un grand canapé de cuir devant une petite cheminée qui était encastrée entre deux colonne de pierre.
Quelqu’un se mit à toquer à la porte dérangeant ainsi l’homme. Celui-ci se retourna légèrement pour observer la porte en chêne noir. Mais il n’avait pas eu le temps d’inviter la personne à entrer que celle-ci le faisait d’elle-même. C’était Marianne Fioli. L’homme dirigea discrètement son regard carmin vers une sorte de contrat qui trônait fièrement sur le reste des feuilles de son bureau. Il l’avait engagé pour qu’elle dresse un esclave humain assez contraignant, surtout qu’il avait débourser une jolie somme pour l’avoir. La jeune rousse s’avançait vers le maître alors qu’elle tenait dans sa main gauche une sorte de laisse rouge écarlate. Au bout de celle-ci, un jeune homme se tenait derrière elle et gardait les yeux baissés vers le sol.
“ Bonjour à vous cher Duc. Comme convenu, votre esclave ne vous posera plus aucun soucis…” La jeune vampire passe une main nonchalante dans ces cheveux roux avant de désigner l’esclave derrière elle en tirant sur la laisse pour le faire avancer devant elle.
“Incline toi devant ton maître, misérable créature... “ Le jeune homme s’exécuta en mettant un genoux au sol avec un salut. Un grand sourire carnassier sur son visage en tirant le jeune homme par les cheveux pour le relever sur ses pieds.
“Je vois ça… Est-ce qu’il a été dressé pour autre chose aussi ? Si vous voyez ce que je veux dire ?” Disait le duc avec un regard visiblement très intéressé
La jeune vampire ne disait rien, cependant elle fit quelque chose qui avait pris un peu par surprise le Duc. Elle fit retourner le jeune homme sur un demi-tour et lui ordonna de baisser son pantalon ainsi que son caleçon. Cela n’avait pris au jeune homme qu’une minute pour faire tout ça et il se pencha pour montrer ses fesses à son maître. Le maître pouvait voir que son esclave avait un gode en bois dans son rectum. Elle avait même réussi à lui faire cet demande personnelle ? Il félicita la demoiselle avant de sortir une bourse remplie à sa comparse.
“Ce fut un plaisir, cher ami… N’hésitez pas à venir me voir si vous avez d’autres soucis à l’avenir. Vous savez où me contacter…”
Elle avait pris une voix mielleuse avant de sortir du bureau avec une démarche à la fois féline et sexy.
Mon histoire
Racontez-nous d'où vient votre personnage, qui était sa famille, quel est son métier, a-t-il des relations, poursuit-il une quête ? 15 lignes minimum.
Adolescebat autem obstinatum propositum erga haec et similia multa scrutanda, stimulos admovente regina, quae abrupte mariti fortunas trudebat in exitium praeceps, cum eum potius lenitate feminea ad veritatis humanitatisque viam reducere utilia suadendo deberet, ut in Gordianorum actibus factitasse Maximini truculenti illius imperatoris rettulimus coniugem.
Cuius acerbitati uxor grave accesserat incentivum, germanitate Augusti turgida supra modum, quam Hannibaliano regi fratris filio antehac Constantinus iunxerat pater, Megaera quaedam mortalis, inflammatrix saevientis adsidua, humani cruoris avida nihil mitius quam maritus; qui paulatim eruditiores facti processu temporis ad nocendum per clandestinos versutosque rumigerulos conpertis leviter addere quaedam male suetos falsa et placentia sibi discentes, adfectati regni vel artium nefandarum calumnias insontibus adfligebant.
Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.