Prénom :Amarylise
Nom : Smith
Race : Humaine
Sexe : Féminin
Âge : 24 ans
Rang : Esclave
Métier :
Préférences sexuelles : Hétéro

Taille : 1.68m
Poids : 57kg
Couleur des yeux : gris
Couleur des cheveux : blond

Description : Je suis blonde, les cheveux longs, légèrement ondulés, je les attache souvent en queue de cheval. Mes sourcils sont bien rangés et assez fins. Mes yeux gris sont un peu en amande. Mon nez est long et fin. Mon visage est assez rond. Mes lèvres bien proportionnées. J’ai une belle poitrine et une taille fine. J’ai suis assez musclée pour une femme. Je pratique de la gymnastique chaque matin pour garder la forme et ma souplesse. Je porte tout le temps des pantalons et des tee shirt. Je n'ai pas de tatouages mais une cicatrice à l'épaule droite, un balle que j'ai reçu il y a quelques années.

Trois qualités : Directe, franche, consciencieuse
Trois défauts : Butée, impulsive, susceptible

Description :Avant mon enlèvement on disait beaucoup de chose sur moi, lorsque j’étais au boulot, je le sais parce que je l’assume pleinement. C’était du style :
- C’est une garce, intransigeante, elle ne lâche rien, butée, asociale, ambitieuse, autoritaire, cérébrale, consciencieuse, directe, franche, dure physiquement comme moralement.

Par contre dans ma vie privée je n’étais pas la même. C’était plutôt :
- Accueillante, amusante, discrète, introvertie, attentionnée, bienveillante, un peu soupe au lait malgré tout, dévouée, douce, gourmande, mystérieuse, solitaire, susceptible, impulsive.

Après mon enlèvement, tout a changé, bien sur au début je me suis rebellée, ma force physique et mentale m’a permis de tenir tête un moment, mais tellement dérisoire. J’ai dû apprendre à m’incliner, à me soumettre. Avant j’ignorais la peur, l’angoisse, la terreur, la douleur, la servitude, l’obéissance, la violence à l’extrême.

Un apprentissage que je ne souhaite à personne, même pas à mon pire ennemi...

En plein cœur de Londres…

NE BOUGE PAS !

Arme au poing j’arrête mon suspect numéro un. J’ai les preuves nécessaires pour son arrestation. Mon agent lui récite ses droits en lui mettant les menottes. Six mois d’investigation pour débusquer l’assassin d’une vieille dame. Volée, violée, mutilée et abandonnée chez elle, elle est morte de ses blessures. Mais désormais l’assassin va payer la note et j’en suis positivement ravie.
Je m’appelle Amarylise Smith, inspecteur Smith. Ca fait quelques années maintenant que je suis inspecteur ou trice comme on veut. Perso, peu importe. J’aime mon travail, trop sans doute car j’ai peu de temps pour le domaine du privé. Je suis une solitaire et je ne m’épanouie que sur le terrain. Je ne suis pas la même. Au travail je suis vraiment moi, je n’ai peur de rien et je n’abandonne jamais une enquête. Je suis réputée pour être une vraie chienne quand il s’agit d’aller au bout. Je ne lâche pas prise. Je suis méthodique, inflexible, rusée et intelligente.
Il n’en est rien pour le privé. Je rentre à mon appartement et je me sens petite, insignifiante, j’ai l’impression de ne servir à rien. Il m’arrive de sortir comme tout le monde mais si peu. Je ramène un mec quand j’en ai envie mais juste une baise et basta. Comme qui dirait « question d’hygiène ». Histoire de se faire du bien, sans se faire du mal. Je ne suis pas une femme d’intérieur encore moins une femme à avoir une ribambelle de moutards. Certains disent que je suis un garçon manqué. Ca m’amuse. Toujours est-il que je supporte très peu les femmes. Je suis plus à l’aise à bosser avec des mecs et encore plus à m’envoyer en l’air avec. Brouter le gazon, très peu pour moi, je ne suis pas végétarienne. Je m’emmerde chez moi comme un rat mort. J’attends toujours l’heure de reprendre le travail.
Il est vingt trois heures et des brouettes quand je reçois un coup de téléphone. Je suis en tee shirt, je sors de la douche depuis peu. Affalée dans mon canapé peinard devant la télé à la con, je décroche. Je ne suis pas surprise de l’appel ça m’arrive de temps en temps.

Allo…… Oui………. Où ?........ Très bien j’arrive.

Une nouvelle enquête. On m’a demandé de venir très vite. Une femme a été enlevée, encore une, son mari n’a rien pu faire. Il n’a pas donné le signalement du malfaiteur. Je pense perso qu’il doit avoir la trouille des représailles. Je dois me rendre chez cet homme où un agent m’attend. Je suis chargée de mener l’enquête.
Arrivée sur place il est environ deux heures quinze du matin. J’ai fait vite pourtant. Mon tee shirt mit dans mon pantalon noir et par-dessus ma veste en cuir et mon flingue sur le côté dans sa pochette. Je suis à l’adresse indiquée, mais tout est calme, bien trop calme. Je descends de ma bagnole. Je suis prête à dégainer au besoin. Je suis une championne au tir, je ne rate que rarement ma cible. Je n’ai pas peur, juste intriguée car je ne vois pas mon collègue.

Putain c’est quoi ce bordel, merde !

Petits détails, je ne suis pas du genre à parler de façon châtiée ou prout prout à la mord moi l’nœud. Non, moi j’appelle un chat, un chat et je parle comme un mec. Je m’avance vers la porte de la maison, mais je n’ai pas le temps d’y arriver. Tout va très vite, trop vite.
Quand je reprends connaissance je ne reconnais pas les lieux, je ne sais pas où je suis mais il fait si froid et si noir. L’éclairage est ancien et il me semble entendre un langage que curieusement je comprends mais que jamais je n’ai utilisé.

Bordel ! C’est quoi ce bins ??

Je suis enfermée dans une espèce de geôle et je crie à tue-tête

PUTAIN DE CONNARDS VOUS ALLEZ MORFLER !!!!

Je suis hors de moi et j’hurle tant que je peux, tous les noms d’oiseaux y passe. Je finis par m’arrêter deux minutes pour souffler un peu. Je pendouille comme une truie qu’on se prépare à saigner.

La vache ! Bande de putes ! VOUS ETES QUI BORDEL DE MERDE !!! MONTREZ-VOUS TETE DE NŒUD !!!

Je n’ai pas d’attache, mes parents sont morts dans un accident de voiture il y a longtemps. Pas de frères et sœurs dans les parages. Je n’ai plus de nouvelle d’eux et c’est très bien ainsi. Pas de petit ami non plus. Je ne peux compter que sur moi-même. Je me demande si dès le départ, tout ça n’était pas prévu.

Va falloir que tu me donnes des explications Jimmy crois moi. Si tu es responsable de toute ça, j't'envoie direct à l’hosto sans passer par la case départ.

JE VEUX SORTIR BANDE DE POUILLEUX !!!

Soudain j’entends qu’on s’approche. Je cesse de bouger et je reste le regard fixé vers la porte…